Tuesday, October 30, 2018

Qui peut vraiment quitter le pays qui ne le quitte jamais?





Euréka - l’Étoile - Les Alpilles - 
Naissance = Première Demeure

Cimetière de Saint Pierre
Mort = Dernière Demeure

Renaissance = Demeure Éternelle

Qui peut vraiment quitter le pays qui ne le quitte jamais?

Dans le présent, alors que nous vivons dans la chair, tournons nous en arrière pour considérer un passé qui devrait nous être toujours cher. Puisse notre passé et notre présent contribuer à ce que notre futur nous coûte moins cher.

Ci-dessus, et ci-dessous, les lieux sacrés qui nous sont chers pour la préservation de la mémoire de toute forme de vie.

L’Évolution d’une attache ombilicale avec Les Alpilles, Euréka et l’Étoile, à Moka, le tabernacle plus que centenaire de la famille Leclézio.

Ce domaine où je suis arrivé dans ce monde, m’offre aussi une attache spirituelle et éternelle avec le lieu où mon ancêtre, Henry, dont je porte le nom, a vécu et d’où il est parti de ce monde. 
Suite à son décès, Sir Henry a quitté sa demeure, L’Étoile, pour aller résider dans sa dernière demeure au cimetière de Saint Pierre et retrouver son étoile dans les cieux. 

Là, dans le domaine où il a choisi de loger de son vivant, je suis né, j’ai été logé et j’ai grandi.

Là, dans le cimetière de Saint Pierre, là, où Sir Henry a choisi de reposer, tandis que pour la vie éternelle, il habitera dans le domaine du Royaume de Dieu, je veux aussi être auprès de lui pour toujours être...

Donc, à partir d’Euréka, de l’Étoile, des Alpilles et du cimetière de Saint Pierre, je choisis de le suivre tout au long de son parcours.

Ainsi, pour moi qui a connu intimement ses lieux de résidence, durant et après sa vie, c’est encore plus important de préserver, à un prix incalculable, une attache ombilicale naturelle et un lien surtout spirituel avec lui, dans le voisinage de sa dernière demeure sur terre. 

Alors quoi de plus naturel et de légitime que de désirer préserver ces dernières demeures familiales qui m’offrent ce lien. Je le fais dans le ferme espoir qu’un tel lien servira à aiguiser la mémoire des miens en leur ouvrant une fenêtre sur le passé, le présent et le futur. 

Donc, par la préservation de nos dernières demeures sur terre,  j’offre comme présent unique, à mes enfants et à mes futurs descendants l’opportunité de chérir et de garder vivante la mémoire si importante du passé.
Je prie et j’espère qu’un passé familiale si riche les aidera à combler tout vide éventuel à n’importe quel tournant de leur vie présente, tout en les aidant à construire un futur sain.

Aujourd’hui, en regardant vers le passé, je considère respectueusement que les 17 enfants d’Henry et de Jenny ont fait d’eux, le Père Abraham et la mère Sarah de tous leurs descendants. C’est pourquoi je veux les honorer en assurant la propriété et l’entretien de leurs dernière demeure ainsi que celle de nos trisaïeuls, Eugène et Clémentine.

A noter que notre illustre ancêtre, Henry, est né en 1840 et qu’il est décédé en 1929. 

Ancêtre Henry a donc vécu pendant 73 ans à Euréka, acheté par son père Eugène en 1856 et à l’Étoile, la demeure construite subséquemment par Henry, dans le royaume d’Euréka. Il a vécu ailleurs pendant 16 ans pour un total de 89 ans de sa vie ici bas.

Ce qui fait qu’en cette année 2018, 89 ans après son décès en 1929, la mémoire et les os de notre vénéré ancêtre, Henry, auront résidé, dans le sépulcre qu’il avait érigé pour être sa dernière demeure, aussi longtemps qu’il aura vécu dans le royaume d’Euréka et ailleurs.

Mon père, Fernand, a suivi l’exemple de son grand père, Henry. Fernand a lui aussi fait construire notre maison, Les Alpilles, dans le domaine d’Euréka. Et qui plus est, Fernand a lui aussi fait ériger un caveau de famille au beau milieu de ceux de nos ancêtres au cimetière de Saint Pierre. 

Grâce à leur prévoyance, je suis né, j’ai connu et j’ai pu apprécier pleinement, de mon vivant, les bienfaits de vivre dans le proche voisinage de ce patriarche et de sa famille à Euréka, l’Étoile et Les Alpilles à Moka.

C’est bien naturellement la raison pour laquelle maintenant, je désire ardemment connaître les bienfaits de continuer à ‘vivre’, dans le proche voisinage de notre père ‘Abraham’ et de notre mère ‘Sarah’ dans le cimetière de Saint Pierre jusqu’au jour de la résurrection.

Et subséquemment, dans les cieux  pour l’éternité dans le proche voisinage de ce même illustre ancêtre bienveillant et de ses descendants et des miens.

Durant toute sa vie, le principal objectif biblique d’Henry a été de garder toute sa grande tribu réunie autour de lui, dans le village de Moka, dans le patelin côtier de Trou d’Eau Douce et dans le village créé par lui et les siens dans le cimetière de Saint Pierre. 

Ainsi, il avait prévu, de son vivant, de conserver les os de sa sainte famille dans le sein de son voisinage en plaçant son caveau tout près de celui de son père, Eugène, né en 1805, décédé en 1893 à 88 ans, et aussi de placer les caveaux de ses enfants et de sa descendance, immédiatement autour de lui. 

Grâce à cette prévoyance toute pleine de Sagesse, au jour de la résurrection, plusieurs générations de la famille Leclézio se réveilleront et se retrouveront dans le même proche voisinage qu’ils auront connu sur terre et dans les ‘dernières demeures’ qui auront été prévues pour eux de leur vivant et cela des décennies et des siècles à l’avance.

En cette année du 178 eme anniversaire de la vie de notre illustre ancêtre, partagé également, entre 89 ans sur terre, principalement à Euréka et 89 ans, au cimetière de Saint Pierre et dans les cieux, je suis reconnaissant à Dieu et à tous ceux qui ont rendu possible que mon épouse, Ève, ait réussi, malgré toutes les difficultés rencontrées, à compléter, le 12 Septembre 2018, les formalités nécessaires pour préserver, au sein de notre famille Leclézio, en notre possession, sous son nom, Jeanne Marie Ève Leclézio, les caveaux de nos illustres ancêtres, notre trisaïeul Eugene et notre bisaïeul Henry.

A noter que Jeanne Marie Ève est la fille de François Leclézio. Le père d’Ève, François, porte donc le même nom que le premier Leclézio arrivé à Maurice en 1792 et qui est le père d’Eugene et grand père d’Henry.

MERCI MON DIEU POUR CE SUPERBE CADEAU EN CETTE ANNÉE DU 178eme ANNIVERSAIRE DE LA VIE, ÉGALEMENT PARTAGÉ, 89 ANS SUR TERRE ET 89 ANS DANS LES CIEUX, DE HENRY, LE DIGNE ET VÉNÉRÉ  PÈRE ABRAHAM DE NOTRE FAMILLE !!!

Dans le présent immédiat, je conçois qu’à ma naissance à domicile, aux Alpilles, dans le domaine d’Euréka, ma mère a donné à la terre d’Euréka, à Moka, un peu de son sang encore chaud alors que moi, j’arrosais cette terre de mes premières larmes toutes fraîches.

A ma mort, à cette même terre Mokassienne, je désire rendre cette part du sang de ma mère et de tout mon sang, qui sera alors refroidi.

Je prie pour que l’amour de Dieu et de toute Sa création le réchauffe et préserve la fluidité de l’amour familiale de génération en génération.

Pour contribuer à préserver la fluidité de notre sang familial et de nos sentiments, que ceux qui seraient présents à mon enterrement, après mon départ, irriguent à leur tour cette terre que j’aurais, moi, arrosée à mon arrivée.

A mon arrivée, je pleurais tandis que ceux qui étaient présents riaient. A mon départ, j’espère qu’une vie bien remplie me permettra de rire alors que ceux présents me pleureront.

Mes convictions sont ancrées dans la foi et les traditions de nos ancêtres. Cette foi et ces traditions sont à la source de la force de l’amour Divin auquel je me cramponne et qui me propulse loin dans le futur.

Puis-je par la prière et les sacrements conserver la valeur de nos trésors bibliques et ancestraux pour l’éternité.

« A chaque fois que l’on est avec Jésus, l’âme aime être là-même, où l’on est né avec la foi de nos aînés . 

Ceux qui partagent cet amour de Dieu et de la famille seront les bienvenus et ils seront bien accueillis si et quand ils désireraient partager notre dernière demeure ici-bas et dans les cieux avec nous. »

Ce cimetière où gisent les morts est évidemment plein de vie.
Vive nos morts toujours vivants qui nous inspirent le respect de toutes formes de vie.


Friday, October 26, 2018

Trails of trials- Faisons preuve de persévérances dans les épreuves....


Trails of trials-  Faisons preuve de persévérances dans les épreuves.

Durant notre vie, accueillons et ascendons les nombreux sentiers d’épreuves avec discernements, joie et gratitude.
Ils nous conduisent tous vers l’autoroute à trois voies de la lumière, de la paix et de l’amour.

During our life, let us welcome with wisdom, joy and gratitude the many trails of trials that we have to tackle. They lead us to the three lane freeway of light, peace and love” 

Wednesday, October 24, 2018

Amour de Marie...

Combien souvent sans émettre un son, Ton coeur m’a fait tout entendre.
Avec l’amour tout s’entend et tous s’entendent.

Combien de fois mon coeur T’a vu danser devant moi alors que tu étais immobile et invisible à l’oeil nu!
Avec l’amour tout se voit et tout danse, comme Toi, aux notes silencieuses de Sa voix!

Toi seule peut compter combien de fois nous avons échanger de sages messages d’amour sans un seul mot et sans langue?
Sans un mot, l’amour communique sans laisser des maux.
L’amour n’a nul besoin d’avoir le dernier mot.
L’amour est paisible.
L’amour, est passible d’apparaître soudainement.
L’amour avec, en et par Dieu et Toi peut durer éternellement.

Merci de me dire:

« Sois amour quoiqu’il soit.
Sois toi, avec amour, tu seras aussi Moi.
Je suis Moi. Avec amour, je suis aussi toi.
Quand et si tu suis: ‘Je Suis’, tu seras aussi, à l’image de Mon fils Jésus et Moi, tout amour. »




Sunday, October 21, 2018

Nu - Habillé par un Souffle ... Sur le roc...



Nu - Habillé par un Souffle ... Sur le roc...

Du sein de ma mère terrestre, je suis arrivé nu sur terre. Sans rien d'autre que le souffle de la vie placé en moi avec amour par l’Esprit de la Sainte Trinité.

Dans le sein de ma Mère céleste, je veux quitter ce monde nu sans rien d'autre que la possibilité de renaitre à la vie éternelle, de connaître mes ancêtres et d’être reconnu par eux. 

Prions pour que nous soyons tous, un jour réunis autour de Marie par la grâce et la Miséricorde de cette même Sainte Trinité qui m’aime et qui nous aime tous. 


Sunday, October 14, 2018

Un Auteur Inconnu



Un Auteur Inconnu

C’est vrai! J’étais un inconnu avant mon arrivée.
Je veux être tout aussi inconnu après mon départ.
Ai-je trouvé la vie? Où? Ou la vie m’a-t-elle trouvé?
Est-ce par Dieu que le don de ma vie fut approuvé?

De ses joies et de ses peines la vie m’en a fait part.
La vraie vie je dois la trouver plus tôt que plus tard.
Entretemps, c’est seulement du nom d’auteur
Qu’ici-bas j’aimerais mériter être à la hauteur.

Là où la vie gît,
Telle une bougie, 
La vie peut être allumée ou être éteinte,
N’importe comment vivons la sans crainte.

De la vie, nous ne sommes tous qu’un nombre...
Une vie ne laisse derrière, ni lumière, ni ombre.
Une vie se dissipe si facilement parmi d’autres,
Que de La Vraie Vie soyons les fervents apôtres,

A une vie trouvé, qui ensuite doit nous fuir
Personne n’a le droit de chercher à nuire.
La vie est essentiellement de Dieu un cadeau
Remercions Le pour l’âme sous notre peau.

Tous nourris, par Dieu, de la fleur du froment.
Dieu à l’ultime Vraie Vie nous a prêté serment.
Lions nous fermement à Ses commandements
Jour et nuit, servons notre bon Dieu fidèlement.

Qui nous avons connu, qui nous a connu,
Nous ne devons jamais, ici ou la bas en sué.
Toute mémoire d’ici disparaîtra dans une nuée
Quand la vie s’élèvera vers un monde inconnu.

C’est ce même monde d’où la Vie nous est venu
Auquel un jour toute forme de Vie nous rendrons.
Nourrissons l’espoir d’être enfin, là bas, reconnu,
Non comme le méchant, mais le bon larron.


Saturday, October 06, 2018

L’Horizon...?


L’horizon...?

Par les desseins de Dieu
L’infiniment grand sculpte l’infiniment petit.
Du maillet, personne n’entend le coup qui retentit.
En silence, jour et nuit, IL sculpte; Ce créateur
Dont l’homme est loin d’être à la hauteur.

IL fait de l’océan l’image flottante du firmament.
Au sommet de la création Il a placé l’homme.
Il partage avec l’homme la même maman.
Mais de Lui, l’homme n’est qu’un atome.
Il a bien voulu le créer à Son image,
Quoiqu’Il l’a créé bien moins sage. 

Où, donc trouver la définition
D’un tel écart de dimension:
Entre:
La sagesse du Créateur 
Et
La petitesse du créé?

L’homme peut-il discuter avec Lui?
Lui, qui a aussi créé le soleil et la pluie.
Oui! Certes nous partageons la même Mère.
Mais pouvons nous marcher avec Lui sur la mer?

Devant ce créateur qui marche sur les vagues,
Nos arguments ne seraient-ils pas vagues?
Il  nous invite à nager dans la même mer
Comment peut-on être envers Lui amer?

Pouvons nous Lui tenir tête impunément?
Ne serait-il pas plus sage de lui prêter serment?
Considérant Ses œuvres créatrices innombrables,
 Comment répliquer à Sa sagesse insondable?

De Dieu, nous ne pouvons que dépendre,
Sans jamais chercher à nous défendre.
De nos péchés, qu’Il nous purge
Demandons grâce à notre Juge.

Dans la passion 
Que Dieu a pour Sa création 
L’homme découvre une dimension extraordinaire  
Qui ne peut se confondre avec l’ordinaire.
Un tel amour est si inimaginable
Que sans Son Saint Esprit
Nous serions incapable
D’apprécier son prix.

Comment comprendre l’immensité de la compassion
Qui est renfermé dans le sacrifice de la passion
De ce Dieu qui va jusqu’à accepter la mort
Pour expier et pardonner tous nos torts.

Ainsi Son amour infiniment grand
Arrive à élever cran par cran,
 Par et sur Sa croix, 
Notre amour infiniment petit.

Voilà ce en quoi la foi croit:
Que Son amour retentit
A travers ce qu’Il peint.
En s’offrant en notre pain
Ainsi que notre vin,
Il révèle Ses desseins.
Ils dessinent notre destin!


En Lui plaçons notre espérance.
Faisons Lui entière confiance.

De l’infiniment grand
A l’infiniment petit
Dieu sait rejoindre les deux bouts.
Allongé, assis, à genoux ou debout,
Grands ou petits, confions Lui notre tout.
Dieu seul sait et peut nous recréer à l’infini

Quand notre vie ici bas semble être fini.

Monday, October 01, 2018

Casuarinaceae (Filaos) et Cétacés... Rodrigues Island.



Casuarinaceae (Filaos) et Cétacés...

A Graviers... Je suis à la plage
Couché sous les filaos.
Je suis aussi dans les nuages
Flottant au dessus des filaos.
Là, où de tout en haut,
Je retrouve ma raison
Tandis que je scrute l’horizon.

Je retiens mon haleine
Je suis là pour voir des baleines.
Ces cétacés témoins géants de la création
À nos problèmes, offrent de bonnes solutions.

L’esprit qui communique avec elles dans la mer
Est-il le même esprit qui nous parle sur terre?
La où les baleines vont et sont,
Les leurs captent leurs sons.
Là où l’humain est,
Est-il satisfait?

La baleine avec son réseau Inmer net
Dépasse-t-elles l’homme et son Interre net?

Là où les baleines vont,
Sont elles avec Lui
Par leurs sens de l’ouïe?
Entendent-elles et suivent-elles 
Naturellement les appels de l’Éternel?

Là, sur la plage ou sur un nuage
J’entend Sa voix providentiel
Venant directement du ciel.
Il me dit : ‘Je Suis’.
Sa Voix 
Et Sa Voie 
Comme les baleines je suis?
Même quand Lui je ne voies!

C’est entre les brindilles de filaos
Que je discerne Son amour.
Me parle-t’IL tout haut.
Est-IL là? Est-IL réel?
Ou me joue-t-IL des tours,
Cet admirable Eternel?

Il est réel, c’est bien Lui que j’entends.
Avec Son souffle sur les brindilles de filaos,
Il joue comme sur les fils d’une guitare.
Il joue le cantique qui le précède.
Pour quand sera Son arrivée? 
Arrivera-t-Il tôt ou tard?

Qui sait quand? En paix, là où je suis, j’attends.
Son amour qui descend vers moi, de la haut,
Est le meilleur remède à tout mes maux.
Donc à Sa Volonté, volontiers, je cède
Car j’entend Son chant et Ses mots.

Alors à mon tour, je caresse les fils de ma guitare.
Son souffle suffit pour faire bouger mes doigts.
Lui, ma guitare et moi chantons Sa gloire,
A Lui qui remplit Sa création d’espoir.

Ah! A l’horizon, je vois la baleine qui souffle.
Non déçu, c’est ça que j’espérais voir.
Quand ce jet d’eau vers le ciel jaillit,
Mon espoir en Lui, n’est pas trahi.
Cette merveille m’époustoufle.

Oh! Ces jets d’eau!
Comme ils sont beau!
Sont-ils des sons de trompettes
Qui annonce la présence du Maître?
Ce spectacle, vu et entendu à l’horizon 
Quelle belle raison, à Dieu, de faire la fête!
Oh baleines! Merci pour ce superbe jeu de tête.
Vous faites la terre entière nager dans le bonheur.
Merci mon Dieu de m’avoir fait connaître cette heure!

J’imbibe tous ces embruns qui me caresse.
Ils lavent mon coeur de toute détresse.
Devant cela tout chagrin s’est tassé.
Toutes les baleines ont passées 
Je m’en vais, c’est assez.

Dans une mer d’eau salée si diluée,
Que Dieu vous gardent cétacés.
Nous, sur une terre si pollué,
Dieu, s’Il te plaît protège
La terre, Ton manège,
Au dessus duquel Tu siège.
Ne laisses pas notre ego
Devenir le triste piège
De péchés à gogo.